La Draft NBA 2020 aura lieu dans la nuit de mercredi à jeudi en France. Pour vous préparer à l'échéance, voici notre classement des meilleurs joueurs de cette cuvée. Nous avons chacun réalisé un top 60 des meilleurs prospects candidats. Le classement qui va suivre est donc le consensus de nos avis, il n'a rien à voir avec une prévision de QUI va être choisi QUAND le soir de la draft. Ceci est uniquement un jugement de valeur des potentiels de cette cuvée.

 

Mode d'emploi :

- pour la fiche de chaque joueur (mensurations, photo, scouting report), cliquez sur son nom

- un texte accompagne le classement si celui-ci a été modifié largement. Pour notre Big Board précédent, cliquez ici.

- pour avoir nos classements personnels regroupés sur une même page, c'est ici

 

EDIT : les choix #1 et #2 ont été inversés après la première publication de l'article

Lottery : Killian Hayes perd un rang, Ball Numéro 1

 

1. LaMelo Ball.

Énorme potentiel de créateur de 2m01, joueur d'instinct. N'a joué que 12 matchs en pro, shootant à 37%. Et pourtant pour la draft 2020 c'est un numéro un possible, car il peut devenir la plaque tournante d'une attaque NBA efficace. Il est peut-être le seul dans ce cas-là en 2020.

2. Anthony Edwards.

Meilleur athlète de la cuvée, ne joue au basket que depuis 3 ans. Gros doutes sur le mental. Manque de "moteur", c'est à dire de constance dans l'effort, trois membres du jury ont donc décidé de ne plus le placer en tant que #1. "Son potentiel va de Dwayne Wade à Dion Waiters", a dit quelqu'un qui ce jour-là avait le sens de la formule.

3. Isaac Okoro. Défenseur né, fait gagner son équipe, potentiel à la création mais doit apprendre à shooter.

4. Onyeka Okongwu. Même s'il ne shoote jamais à plus de 4 mètres il apportera défense, lecture, dynamisme à son équipe.

5. Killian Hayes.

Les avis sont partagés parmi les front office NBA concernant le potentiel de Killian. Certains lui reprochent une année "trop facile" à Ulm. Il est vrai qu'il avait les clés du camion, le droit à énormément d'erreurs, un temps de jeu garanti, bref des conditions idéales pour grandir. Il fallait produire, il a produit. Il est capable de step back, de défendre, de jouer le pick'n roll. Il est prêt mentalement depuis longtemps pour le monde pro. Mais a-t-il les capacités athlétiques et techniques pour mener une attaque NBA, être une des deux premières options de son équipe ? L'incertitude l'a fait reculer.

6. Deni Avdija. Mental d'acier, polyvalence offensive et défensive. Le potentiel d'ailier playmaker est là, tout en étant NBA ready.

7. James Wiseman. Un physique trop dominant pour le reculer plus loin que ça, malgré beaucoup d'incertitudes (mobilité, mental ?).

8. Patrick Williams.

Pourquoi sa cote grimpe en flèche ? Il a les mensurations idéales pour jouer 3-4 en NBA, être un stoppeur désigné qui rentre ses trois points, à seulement 19 ans. Mais si on regarde plus loin, dans 4-5 ans, si Patrick arrive à développer une dextérité lui permettant de tirer confortablement en sortie de dribble, il a le potentiel pour être bien plus qu'un simple 3&D. Il l'a fait par minuscules séquences cette année, mais ça suffit pour imaginer l'avenir doré.

9. Devin Vassell. Le 3&D idéal, bon défenseur sur l'homme, en équipe, avec option longueur qui l'aide beaucoup sur son tir.

10. Tyrese Maxey.

Chute à l'arrière pour Tyrese, avec certains membres de l'équipe convaincus qu'il a les outils nécessaires pour s'exprimer au haut niveau en tant que deuxième option. D'autres ne lui voient vraiment aucun domaine "élite" et le placent donc en ventre mou de premier tour.

11. Kira Lewis Jr. Il va très vite, il a deux saisons NCAA dans les jambes à 19 ans, progresse rapidement à la passe et au tir.

12. Obi Toppin. Arme nucléaire offensive, arrivera-t-il seulement à défendre ? Candidat évident au titre de Rookie of the Year.

13. Tyrell Terry. Meneur léthal en catch and shoot, sur place ou après un sprint. S'il a la même réussite en sortie de dribble, attention au steal.

14. Jaden McDaniels. Le potentiel est haut, mais le plafond est bas. S'il shoote en C&S dès sa première saison, attention à l'effet MPJ.

 

Fin du premier tour : la hype Pokusevski

 

15. Tyrese Haliburton.

Une remontée pour Tyrese, qu'on trouve toujours quasi unanimement surcoté par les américains, encore plus par les fous des analytics. Nous avons toujours la certitude qu'il ne pourra pas ajouter suffisamment de muscles pour peser défensivement en NBA, mais malgré sa mécanique affreuse il sera probablement un joueur de catch & shoot ou catch & drive efficace. Un gros cerveau avec de la longueur, ça ne se laisse pas à la porte selon certains.

16. RJ Hampton.

Quelques places de gagnées mais toujours une incertitude maximale pour l'autoproclamé "meilleur joueur de la draft" - il en fallait bien un quand même, n'importe quoi cette génération de prospects humbles. Avec sa vitesse, un petit shoot suffirait pour lui ouvrir les boulevards jusqu'au cercle. Ce shoot, il le bosse avec Mike Miller, ex-sniper qui a l'air plutôt optimiste concernant les progrès de son poulain. Il est sans doute payé pour aller le dire dans les médias US, mais RJ en Nouvelle-Zélande était vu comme un bosseur cette saison.

17. Leandro Bolmaro. Malgré un début de saison très moyen au Barça, il reste un arrière NBA ready défensivement, doué techniquement, de 2 mètres.

18. Desmond Bane. On l'adore tous, personne n'ose le mettre dans le top 10, tout le monde va le regretter. NBA Ready, shooteur de haut niveau.

19. Aleksej Pokusevski.

Encore des places de gagnées pour le serbe (famille originaire du Kosovo pour être précis), recruté par l'Olymipakos à 13 ans parce que son entraineur-père mettait des highligts de lui sur Youtube. Poku c'est un as, un des meilleurs shooteurs de la draft alors qu'il est le joueur le plus jeune et mesure plus de 2m10. Capable de driver, extrêmement mobile, il est si fin qu'il fait peur à voir, sur chaque contact. De son épaisseur dépendra l'importance de sa carrière NBA. Il peut être un des cinq meilleurs de cette draft, mais il semble si loin qu'il est difficile à "projeter".

20. Aaron Nesmith. Un coup de chaud à 52% de loin pendant 14 matchs, et une draft au premier tour. Le corps pour devenir un bon 3&D de toute façon, label prisé.

21. Cole Anthony.

Dégringolade parce que plusieurs ne croient plus en sa capacité d'être une première option au niveau NBA, manque d'explosivité, de toucher près du cercle. Passeur fonctionnel sans être génial, bon shooteur, il peut faire une bonne carrière mais s'il s'attend à devenir une star il pourrait être déçu. Pas de bons retours concernant sa mentalité, alors inquiétude, refroidissement, recul dans le classement.

22. Isaiah Joe. Un des meilleurs shooteurs de la draft, ses % ont été pénalisés par la difficulté des tirs. Potentiel poste 2 titulaire dans une équipe avec déjà 1-2 stars.

23. Saddiq Bey

Belle remontée pour Saddiq, que certains pénalisent à cause de son âge "avancé" (21 ans et demi), de son côté "unidimensionnel" (catch and shoot) et de son apprente lenteur défensive. Mais Bey, comme Cameron Johnson l'an passé, est un sniper en attaque qui donne de l'air, sa longueur en défense lui permet de survivre. Typiquement le genre de type qui dure 7-8 ans sans faire de bruit, une carrière faite de filoches en tant que role player, la destinée préférée des joueurs sortis de Villanova.

24. Josh Green. Déjà prêt à défendre en NBA, il va falloir s'acheter une main gauche et améliorer ce tir. Pour le reste, vrai joueur de devoir.

25. Théo Maledon. On adore son éthique de travail, le meneur français est prêt physiquement et mentalement pour la Grande Ligue. Plus grands que plusieurs concurrents à son poste.

26. Tyler Bey. Monté sur ressorts, "good guy" selon l'ensemble des scouts, prêt à travailler dur, ça ressemble aux ingrédients d'une carrière réussie, surtout si le tir arrive.

27. Precious Achiuwa

Precious peut, comme Okongwu, défendre quasiment quatre positions dès demain en NBA. Il a des facilités de drive, comme Okongwu. Il est un peu petit pour un pivot, comme Okongwu, et comme Onyeka, il a du mal avec son tir. Pourtant le voilà plus de 20 places derrières, déjà parce qu'il est plus âgé, parce qu'il semble moins pertinent et réfléchi qu'Onyeka dans ses déplacements et actions défensives et qu'il a montré moins de QI en phase offensive. Mas il a faim de succès, lui qui a grandi au Nigéria. À ne pas exclure.

28. Robert Woodard II. Un physique digne d'un Dieu grec selon son coach à Mississippi State, Ben Howland. Si en plus il défend et il tire, ce sera monnayable.

29. Grant Riller. Taille correcte pour un meneur, qui est quasiment déjà à son plafond (bientôt 24 ans) mais qui shoote ET se crée son tir grâce à un side-step supersonique.

30. Xavier Tillman. Pivot dur sur l'homme, doux en lecture de jeu, les plus grandes paluches de la draft quand même capable de shooter efficacement. Steal ?

 

Second tour : moins d'européens que prévu ?

 

31. Jalen Smith.

2m08 et un tir Lucky Luke. Vraie licorne ou petit poney ? Le profil est si rare et si recherché qu'il est remonté d'une dizaine de place dans notre classement, grâce notamment à sa gestuelle efficace. Les chiffres ne disent pas toujours tout. Aussi, les plus belles lunettes de la draft, facile.

32. Niccoló Mannion.

Moins sept places pour l'américano-italien, notre rouquin préféré peut être sous coté. Encore jeune, bon shooteur, bon passeur, bon instinct, il ne s'aide apparemment pas en foirant le processus pré-draft avec des interviews dont nous n'avons pas eu des retours fameux, pour écrire poliment. Y a-t-il encore un avenir pour les joueurs de moins d'un mètre 90 en NBA ? Voilà un débat philosophique auquel la réussite / l'échec de Nico participera.

33. Ty-Shon Alexander.

De la taille pour son poste, du tir, de la défense, un état d'esprit correct. Voilà en quelques mots les qualités de Ty-Shon, qui en font un candidat sérieux au titre de sniper silencieux de cette draft. Certains pourraient lui entrevoir un futur à la Shamet, par exemple. 

34. Jahmi'us Ramsey.

Le prospect au range le plus large selon nos différents classements. Entre le top 20 pour ceux qui voient un physique taillé NBA + un tir efficace + 19 ans, et à peine le top 60 pour d'autres qui voient QI pas terrible, une dextérité moyenne, une défense surcotée par le système de Texas Tech. Chacun voit Ramsey à sa porte.

35. Malachi Flynn. Meneur superbe shooteur notamment en sortie de dribble. Petit gabarit mais pot de colle en défense. Futur chouchou du public.

36. Yam Madar. Notre chouchou venu d'Israël, futur cauchemar de l'attaquant adverse, avec un skillset offensif bourgeonnant.

37. Killian Tillie. Grand, shooteur précis, bon passeur, gros QI. Si le physique va, il trouvera une place car son rôle dans une NBA small ball est déjà tracé.

38. Isaiah Stewart. Le "good guy" par excellence, un sourire aussi ravageur que sa puissance dans la raquette. Devra tirer pour exister, surtout bouger ses pieds en défense.

39. Devon Dotson. Ben en est amoureux car il va vite, il est costaud, il shootera peut-être. Mais il reste limité en taille, pas un sniper d'exception, donc risqué.

40. Cassius Stanley. Toujours un athlète top niveau, a rentré ses catch & shoot cette année, mais devra apprendre beaucoup de choses avant de pouvoir jouer en NBA.

41. Immanuel Quickley. Shooteur d'élite à Kentucky mais sous coté pour son manque de physique supposé. Ça vous rappelle quelqu'un ?

42. Jordan Nwora. Ne bouge pas, comme son tir en C&S, léthal (les meilleurs résultats du Combine). Devra montrer qu'il peut faire autre chose.

43. Jay Scrubb.

On a finalement regardé quelques matchs, pas facile de se procurer du film venu de Junior College. Mais on a aimé l'athlète, dimensionné pour la NBA, avec un premier pas sympathique, une capacité de tir extérieur mais surtout des finitions au cercle au contact. S'il parvient à devenir un shooteur "moyen", il aura une chance d'obtenir du temps de jeu et de devenir la "belle histoire" de cette draft.

44. Tre Jones. Petit frère de Tyus, grosse défense en plus, shoot en moins. Embêtant lorsqu'on joue poste 1, même si Tre a fait des progrès cette saison.

45. Zeke Nnaji. Beaucoup d'énergie, potentiellement une vraie force offensive, mais un manque de présence défensive gênant pour un intérieur de sa taille.

46. Vernon Carey.

Comme beaucoup de pivots, il chute dans les rankings car on n'a pu que constater les playoffs et le besoin de spacing constant des équipes, le besoin de pouvoir switcher en défense également. Carey pourra certainement shooter à terme, il a du toucher. En revanche tant qu'il ne progresse pas (ça peut prendre du temps) dans les défenses sur pick'n roll, sa cote ne remontera pas.

47. Cassius Winston. Excellent shooteur, passeur, mais petit et non athlétique. Si son envergure lui permet de compenser, il a une chance (petite) grâce à son QI.

48. Skylar Mays. Vieux pas très grand et pas scoreur de l'année, ça ne vend pas du rêve. Mais Skylar est grand pour son poste, plein de fondamentaux, fort d'un tir super fiable.

49. Elijah Hughes. Malgré son âge, sa capacité à pouvoir être un 3&D à court terme en NBA et sa vivacité athlétique (rare au 2e tour) font légèrement monter sa cote.

50. Daniel Oturu. Tout comme Vernon Carey, sauf que lui a un an de plus, sait un peu plus shooter et driver. Attention à la mobilité en défense.

51. Reginald Perry. Plus vieux que les autres pivots, mais meilleur dans les tirs de loin. L'un compense l'autre et le classement se fait similaire.

52. Nick Richards. A montré lors du Combine qu'il bougeait bien pour un pivot, ce qui confirme les progrès vus à Kentucky. 75% aux LF, pas mal.

53. Paul Reed. Encore un pivot, chéri des statistiques avancées grâce à ses grosses perfs au contre et à l'interception. Peut switcher, mais peut-il shooter ?

54. CJ Elleby.

Typiquement le genre de joueur qu'on espère signer non drafté, parce qu'il s'intègrera bien à l'équipe. Beau tir, belle capacité à freiner balle en main pour se créer de l'espace. Pas un super physique pour finir près du cercle, mais cela peut s'améliorer avec le toucher, bien présent. Est capable de défendre plusieurs positions.

55. Saben Lee. Arrière hyper athlétique qui jouera sa place en NBA sur deux choses : la régularité défensive et la capacité à shooter derrière l'écran.

56. Udoka Azubuike.

Plus de 2m10, 120kg, mais une excellente détente sèche (94cm, la 2e du Combine). Intraitable près du cercle, peut-il être plus que Tacko Fall ? Certains ont tendance à penser qu'il y a une ouverture, Udoka a beaucoup perdu de poids cette saison et montré qu'il pouvait bouger un peu ses pieds. Gros travailleur entre dans le top 60.

57. Payton Pritchard. Encore un meneur, encore un vieux, encore un excellent shooteur. Pritchard a toujours dépassé les attentes, il semble difficile de miser contre lui.

58. Ashton Hagans. Gros défenseur sur l'homme, belle vision du jeu, mais l'arrière le plus maladroit de cette draft, malgré un bon % aux lancers-francs.

59. Nate Hinton.

Entrée dans le top 60 car il a un profil qui pourrait lui donner du temps de jeu rapidement : défenseur stoppeur, excellent rebondeur, il sera d'abord un homme de mission. Et s'il rentre ses tirs, les missions pourraient durer un peu.

60. Karim Mane. Gros athlète, capable de shooter un peu, de driver pas trop. On l'a peu vu cette saison, il n'était pas à la fac'. "Two years away from..."

 

Hors du top 60 : et alors ?

Les undrafted free agents réussissent de plus en plus à obtenir des contrats two way. 

 

61. Mamadi Diakite. Le Guinéen de Virginia est quasiment un produit fini, mais le combo longueur + taille + tir naissant + mobilité pourrait attirer des franchises.

62. Kaleb Wesson.

Cet ancien gros ne cesse de perdre du poids et de gagner en fluidité. Pas athlétique mais très bon shooteur pour un grand et la plus haute Standing Reach de celles mesurées au NBA Combine (taille avec les bras levés). Pas un mauvais passeur non plus.

63. Justinian Jessup.

Attention, les dégâts causés par Duncan Robinson avec Miami vont donner des idées à certains. Duncan, 2m03, 43% en carrière, 86% aux LF. Justinian, 2M01, 41% en carrière et 83% aux LF (96% cette saison !). Peut shooter en mouvement, rapidement, est intelligent.

64. Sam Merrill. Le plus vieux joueur de cette draft, mais bon défenseur et excellent shooteur, à 1m96, ça peut servir... (Avis aux clubs européens).

65. Marko Simonovic.

Enfin un européen ! Les Jokubaitis, Rogkavopoulos de ce monde ont retiré leur candidature. Reste ce bon vieux Marko, en progrès au niveau de la mobilité des pieds pour défendre, toujours dangereux au tir.

66. Jalen Harris. Athlète sous coté (bons résultats au Combine), gros scoreur, mesurant 1m96, il pourrait rendre service sur des bancs manquant de créativité.

67. Markus Howard. Shooteur à trois points exceptionnel, avec ou sans dribble, de loin ou de très loin. Mais il ne fait que ça bien, il est petit, est-ce suffisant ?

68. Paul Eboua. Énorme athlète, très long, potentiellement un défenseur sur quatre positions. A malheureusement montré peu de progrès la saison passée.

69. Omer Yurtseven. Sur les radars depuis de nombreuses années, de bonnes mains pour un grand, une mobilité en progrès. Défenseur moyen shoote peu de loin.

70. Myles Powell. Comme Markus Howard, en plus dense mais moins adroit.

71. Trevelin Queen. Très vieux mais pourrait être la belle histoire, car il revient de loin. Capable de créer, athlète très vif, un shoot étrange mais efficace. Paraît frêle.

72. Malik Fitts. Profil 3&D potentiel très recherché, mais manque peut-être de variété de tir et de réelle efficacité défensive pour y prétendre. Ou alors on se trompe ?

73. Naji Marshall. S'il shoote, son premier pas véloce et sa grosse carrure en font un poste 4 potentiellement intéressant sur des minutes de banc.

74. Yoeli Childs. (Trop) Petit intérieur, très vif et adroit aussi bien au cercle (74%) qu'à trois points (48% sur seulement 50 tentatives). Warning : 54% aux lancers-francs.

 

Méthodologie : la moyenne des choix de l'équipe

Le joueur A est classé deuxième par 3 d'entre nous et cinquième par les deux autres : (3 fois 2 + 2 fois 5 = 16, le tout divisé par 5 = 3,2).

Le joueur B est classé premier par 2 d'entre nous, 4e par un, 6e par les deux autres : (2 fois 1 + 4 + 2 fois 6 = 17, le tout divisé par 5 = 3,4)

Le joueur A sera classé devant le joueur B, car il est en moyenne classé 3,2 contre 3,4 pour le B.

Nous sommes 5 à produire un Big Board de minimum 60 noms : Ben, Nico, Manu, Alan et Alex.